Revenus fonciers SCI : comment déclarer et optimiser votre impôt ?

photo du rédacteur
  • Article rédigé par Mickaël ZONTA
  • Président, Investissement-Locatif.com
Temps de lecture 10 minutes Publié le samedi 26 avril 2025
Sommaire
Revenus fonciers SCI : comment les calculer et les déclarer ?
Déclaration des revenus fonciers : toutes les étapes à connaître
Optimisation financière : comment payer moins d'impôts sur les revenus de sa SCI ?
Optimiser l’impôt SCI : les taux à connaître et les astuces à appliquer
Les erreurs à éviter quand on déclare ses revenus fonciers en SCI
Revenus fonciers SCI : les leviers pour réduire votre impôt
revenus-fonciers-sci

Les revenus fonciers proviennent en général de la location de biens détenus par la société. Cela peut être des appartements, des maisons ou d'autres actifs immobiliers. Mais comme toute bonne chose en France, ces revenus s’accompagnent d’obligations fiscales bien précises. Chaque année par exemple, les SCI doivent effectuer une déclaration de leurs revenus fonciers via le célèbre formulaire 2072. Un rituel fiscal incontournable pour rester en bons termes avec l’administration.

Une gestion rigoureuse des revenus fonciers est donc primordiale, pour éviter les oublis, mais aussi pour optimiser la fiscalité de la SCI. Et bonne nouvelle : les régimes fiscaux applicables aux SCI offrent plusieurs options pour réduire intelligemment le montant de l’impôt (sans tricher, bien sûr).

Le régime réel d’imposition permet à la SCI de déduire les charges réelles liées à ses biens immobiliers. Autrement dit, plus vous avez de dépenses justifiées, moins vous paierez d’impôts.

Par exemple, si votre SCI possède un appartement mis en location, elle peut déduire :

  • les frais de réparation,

  • les intérêts d’emprunt,

  • les assurances,

  • et les taxes foncières.

Le régime micro-foncier est une alternative simplifiée, adaptée aux SCI soumises à l’impôt sur le revenu. Les revenus fonciers annuels ne doivent pas dépasser 15 000 €. Ici, pas besoin de détailler chaque centime dépensé : l'administration applique un abattement forfaitaire de 30 %, sans poser de questions.

Revenus fonciers SCI : comment les calculer et les déclarer ?

Tout loyer encaissé entre dans la catégorie des revenus fonciers que vous louiez un studio cosy, un local commercial ou même un terrain vague en pleine expansion.

Si votre SCI loue un appartement à 1 000 € par mois, elle engrange 12 000 € par an. Mais attention, ce chiffre représente le revenu brut, c’est-à-dire avant déduction des charges. Ce sont les détails qui font toute la différence en fiscalité.

Exemples concrets : loyers perçus par une SCI

Prenons une Société Civile Immobilière (SCI) qui possède plusieurs biens. Elle loue :

  • un appartement à 1 200 €/mois → soit 14 400 €/an

  • un local commercial à 2 500 €/mois → soit 30 000 €/an

Revenus fonciers bruts annuels : 44 400 €

C’est beau, ça fait du chiffre… Mais on n’en est pas encore au montant imposable. Charges déductibles : vos meilleures alliées fiscales

Avant de faire chauffer la calculette de l’administration, vous pouvez (et devez) déduire certaines charges :

  • frais de réparation et d’entretien,

  • intérêts d’emprunt,

  • assurances,

  • taxes foncières,

  • et autres dépenses éligibles.

Exemple : si vos charges annuelles atteignent 10 000 €, vous les déduisez de vos 44 400 € de revenus bruts.
Résultat : revenu foncier net imposable = 34 400 €

Et là, l’administration fiscale commence à faire les gros yeux.

Déclaration des revenus fonciers : ne pas jouer avec le feu (fiscal)

Chaque année, la SCI doit déposer une déclaration des revenus fonciers via le formulaire 2072.
Et autant vous le dire : mieux vaut ne pas traîner. Voici ce qui vous attend si vous dépassez les délais :

  • Déclaration tardive (spontanée, avant relance) : +10 % de majoration

  • Déclaration après mise en demeure (sous 30 jours) : +20 %

  • Retard avec manquement délibéré : +40 %

  • Et en cas de fraude avérée : jusqu’à +80 % (autant dire… ouille)

En bref : mieux vaut déclarer à temps que regretter trop tard. Et si vous êtes du genre tête en l’air, pensez à utiliser un logiciel de gestion locative ou à vous faire accompagner par un pro. Votre tranquillité fiscale vaut bien ça.

Une personne analyse des données financières avec une calculatrice et un tableau, illustrant le calcul des revenus fonciers SCI pour une gestion optimale

Déclaration des revenus fonciers : toutes les étapes à connaître

Il y a une case que vous ne pouvez pas éviter chaque année si vous gérez une SCI soumise à l’impôt sur le revenu (IR) : la déclaration des revenus fonciers via le formulaire officiel 2072. Ce document est indispensable pour rester en bons termes avec l’administration fiscale — ce qui est toujours une bonne idée.

Le formulaire 2072 s’adresse aux sociétés immobilières non soumises à l’impôt sur les sociétés (IS). Il permet de déclarer tous les revenus locatifs issus des biens détenus par la SCI, qu’il s’agisse de biens bâtis (maisons, appartements, immeubles) ou non bâtis (terrains, parcelles, etc.).

Étapes clés du processus de déclaration

 

Étape

Description

Collecte des informations

Rassembler tous les éléments indispensables : loyers perçus, charges déductibles (entretien, intérêts d’emprunt, assurance…), documents justificatifs.

Remplissage du formulaire 2072

Compléter soigneusement le formulaire 2072, disponible sur le site impots.gouv.fr, via l’espace professionnel du gérant de la SCI.

Télédéclaration obligatoire

Effectuer la télédéclaration en ligne : depuis quelques années, l'envoi papier n’est plus accepté pour les SCI soumises à l’IR.

 

Délais de déclaration : à noter (et à ne pas oublier)

Les délais de déclaration dépendent du régime fiscal de votre SCI :

SCI à l’IR

La date limite est fixée chaque année par l’administration, généralement en mai. Ne tardez pas : passer la date, c’est s’exposer à des majorations d’impôt.

SCI à l’IS

Les délais peuvent varier légèrement d’une année à l’autre. En général, la déclaration doit être faite le deuxième jour ouvré suivant le 1er mai. Le mieux reste de vérifier chaque année sur le site officiel pour ne pas se faire surprendre.

En cas de retard, même involontaire, l’administration n’oublie pas. Des pénalités peuvent vite s’accumuler si les délais ne sont pas respectés.

IR ou IS : deux régimes, deux logiques fiscales

Les SCI peuvent opter pour l’impôt sur le revenu (IR) ou être soumises à l’impôt sur les sociétés (IS). Et cette décision a un impact direct sur la manière dont les revenus fonciers sont déclarés et imposés.

Pour les SCI à l’IR

Les revenus locatifs sont imposés directement au niveau des associés, chacun déclarant sa part dans sa déclaration personnelle. Pratique, mais attention à bien répartir les montants entre copropriétaires.

Pour les SCI à l’IS

La société est imposée directement sur son bénéfice net. Les associés ne déclarent pas les revenus fonciers, sauf en cas de distribution. Ce régime peut être avantageux dans certains cas… ou pas, selon la stratégie de gestion du patrimoine immobilier.

Conseil malin : si vous hésitez entre IR et IS, mieux vaut faire un petit calcul comparatif (ou appeler un bon expert-comptable) avant de trancher. Car ce choix fiscal peut avoir des conséquences durables sur vos impôts, votre rentabilité, et même vos projets futurs.

Optimisation financière : comment payer moins d'impôts sur les revenus de sa SCI ?

Optimiser la fiscalité de votre SCI, ce n’est pas sorcier. Il faudra toutefois connaître quelques règles de base et d’en user intelligemment. Il existe des moyens parfaitement légaux de réduire ses impôts sur les revenus fonciers, sans finir dans le collimateur de l’administration.

Déduire les charges : votre premier réflexe fiscal malin

Déduire les charges liées à l'entretien des biens immobiliers est sans doute la méthode la plus simple pour alléger la note.
Le principe est limpide : moins votre revenu imposable est élevé, moins vous payez d'impôts.

Exemple concret :

Votre SCI perçoit 12 000 € de loyers par an.

Vous supportez 5 000 € de charges déductibles (dont 2 000 € de réparations, 1 500 € d’intérêts d’emprunt, 500 € d’assurances et 1 000 € de taxes foncières).

Résultat : votre revenu net imposable tombe à 7 000 €.
Moins de revenu déclaré = plus de sourire au moment de valider votre déclaration.

Gérer les déficits fonciers : transformer les mauvaises années en bonnes affaires fiscales

Parfois, malgré tout votre talent de bailleur, les charges peuvent dépasser les loyers perçus. Bonne nouvelle : cela crée un déficit foncier... et contrairement à un déficit calorique, celui-ci est plutôt bon pour votre portefeuille.

En clair si vos frais d’entretien, réparations, intérêts de prêt sont supérieurs aux loyers encaissés, vous générez un déficit.

Ce déficit peut être imputé sur vos revenus fonciers futurs, réduisant ainsi votre base imposable pour les années suivantes.

Un peu comme mettre du crédit d'impôt en réserve pour adoucir les prochaines saisons fiscales.

Utiliser des dispositifs fiscaux spécifiques : Pinel, Malraux & Co

Pour les investisseurs plus stratèges, il existe aussi des dispositifs fiscaux taillés sur mesure pour booster l’optimisation fiscale de votre SCI.

Le dispositif Pinel et la SCI : des loyers encadrés, mais une carotte fiscale alléchante

Le dispositif Pinel vous permet de bénéficier d'une réduction d'impôt allant de 9 % à 14 % du prix d'achat d’un bien, en échange d’une location encadrée (durée minimale de 6, 9 ou 12 ans).

Exemple :
Votre SCI investit dans un appartement neuf à 200 000 €.
En le louant pendant 9 ans, vous décrochez une réduction d’impôt de 12 %, soit 24 000 € au total (2 667 € par an).

À noter : pour profiter du Pinel, la SCI doit être soumise à l'impôt sur le revenu (IR), pas à l’IS.

Le dispositif Malraux et la SCI : la beauté du patrimoine récompensée

Le dispositif Malraux vise les investisseurs amoureux des belles pierres (et de la rénovation) :

Il permet de déduire jusqu’à 30 % des frais de rénovation réalisés sur des immeubles historiques ou situés en secteurs protégés.

Exemple : pour 100 000 € de travaux, vous obtenez 30 000 € de réduction d'impôt.

Attention : pour bénéficier de cette aubaine, il faut :

  • Que les travaux soient suivis par un Architecte des Bâtiments de France,

  • Et que le bien soit loué nu pendant au moins 9 ans.

En résumé : si vous rêvez d’allier passion du patrimoine et optimisation fiscale, le Malraux est un allié de choix (mais aussi un projet qui demande sérieux et rigueur).

Optimiser l’impôt SCI : les taux à connaître et les astuces à appliquer

Il est important de bien comprendre les taux d’imposition applicables quand on parle de SCI et d'optimisation fiscale. On risquerait sinon de laisser filer des sommes coquettes en impôts.
Tout commence par un choix déterminant : celui du régime fiscal — impôt sur le revenu (IR) ou impôt sur les sociétés (IS). Ce choix n’est pas anodin pour vos revenus fonciers et vos dividendes.

SCI sous le régime de l'IR : le barème progressif entre en scène

Les revenus fonciers de la SCI ne sont pas imposés au niveau de la société, mais directement chez les associés sous le régime de l'IR. Chaque associé ajoute sa quote-part de loyers perçus à ses autres revenus personnels, et l’ensemble est soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu.

Taux d’imposition : entre 0 % et 45 %, selon votre tranche marginale d’imposition.

Il faut ajouter 17,2 % de prélèvements sociaux sur les revenus fonciers, parce que les bonnes nouvelles fiscales arrivent rarement seules.

Illustration concrète :

Votre SCI perçoit 20 000 € de loyers par an.

Vous êtes deux associés à 50 %.

Chaque associé déclare donc 10 000 € de revenus fonciers.

Si un associé a 30 000 € de revenus imposables en plus, il sera imposé sur 40 000 € selon le barème progressif... plus les prélèvements sociaux.

Moralité : plus vous grimpez dans les tranches fiscales, plus l'addition s'alourdit.

SCI sous le régime de l'IS : un taux fixe… mais une double imposition

Sous le régime de l'IS, c’est la SCI elle-même qui est imposée sur son bénéfice net. Ici, le fisc applique des taux fixes :

  • 15 % sur les premiers 42 500 € de bénéfices,

  • puis 25 % au-delà.

Cela paraît séduisant au premier regard… mais attention : si la SCI distribue ensuite ses dividendes aux associés, ceux-ci subiront une seconde couche d’imposition via le Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) à 30 %.

La SCI réalise 60 000 € de bénéfices.

Sur 42 500 € : 15 % d’impôt → 6 375 €

Sur les 17 500 € restants : 25 % d’impôt → 4 375 €

Total d’impôt sur les sociétés : 10 750 €

Bénéfice net après IS : 49 250 €

Si la SCI distribue ce bénéfice : PFU de 30 % → 14 775 € supplémentaires d’impôt pour les associés.

Résultat : la double imposition grignote sérieusement vos dividendes nets... même si, au départ, le taux d’IS semblait tout doux.

Un graphique financier sur un tableau, une calculatrice et des notes, représentant l'analyse des revenus fonciers SCI pour une déclaration fiscale précise

Influence des taux sur les dividendes nets pour les associés

Sous l'IR

Les associés peuvent déduire des charges pour réduire leur base imposable, mais restent exposés à des taux parfois élevés, surtout pour les gros revenus.

Sous l'IS

La SCI bénéficie d’une imposition fixe, avantageuse si les revenus fonciers sont importants. Mais la double imposition sur les dividendes peut, sur le long terme, amputer la rentabilité.

Conseil stratégique : pour optimiser l'impôt de votre SCI, il est essentiel de comparer soigneusement les deux régimes selon :

  • vos recettes locatives,

  • vos charges déductibles,

  • vos projets patrimoniaux,

  • et votre taux marginal d’imposition personnel.

Et bien sûr, pensez à maximiser vos avantages via :

  • la déduction des charges,

  • la gestion des déficits fonciers,

  • et l'utilisation de dispositifs fiscaux spécifiques comme le Pinel ou le Malraux.

Parce que payer des impôts, oui ; mais en payer intelligemment, c’est encore mieux !

Les erreurs à éviter quand on déclare ses revenus fonciers en SCI

en suivant quelques bonnes pratiques, vous pouvez éviter les pièges les plus fréquents et déclarer sereinement, sans mauvaise surprise.

Voici les erreurs classiques à éviter pour faire de votre déclaration un vrai jeu d’enfant (ou presque) :

Oublier de déclarer des revenus accessoires

Quand on pense "revenus fonciers", on pense instinctivement aux loyers encaissés. Mais attention : certains revenus accessoires doivent aussi être déclarés !

Par exemple :

  • Indemnités d’assurance perçues suite à un sinistre,

  • Loyers encaissés en avance,

  • Revenus issus de sous-locations autorisées,

  • Indemnités d’occupation (ex-locataires qui restent sans bail).

Erreur classique : croire que seuls les loyers "classiques" sont imposables.
Conseil malin : vérifiez systématiquement tous les flux financiers liés aux biens détenus par la SCI pour ne rien oublier.

Ne pas ventiler correctement charges et recettes

La ventilation (c’est-à-dire bien distinguer ce qui entre et ce qui sort) est fondamentale.
Ne pas séparer correctement les charges (dépenses déductibles) des recettes (loyers perçus) peut fausser totalement votre déclaration… et attirer l’attention du fisc (spoiler : ce n'est jamais une bonne idée).

Quelques rappels utiles :

  • Charges déductibles : entretien, travaux, intérêts d’emprunt, primes d'assurance, taxe foncière…

  • Recettes imposables : loyers, revenus accessoires.

Erreur classique : comptabiliser une charge en recette (ou l’inverse) en remplissant trop vite son tableau Excel à minuit passé.
Conseil malin : organisez vos justificatifs dans deux catégories claires dès le début de l'année.

Mal remplir le formulaire 2072 (et tomber dans les pénalités)

Le formulaire 2072 est votre meilleur ami fiscal… à condition de le remplir correctement. La moindre erreur ou omission peut entraîner le rejet de la déclaration, la majoration de l’impôt et, dans les cas extrêmes, un contrôle fiscal ciblé (autant dire, la version immobilière de l'alerte rouge).

Les erreurs fréquentes :

  • Oublier de mentionner les prélèvements sociaux,

  • Reporter un montant HT au lieu du montant TTC (ou inversement),

  • Oublier une annexe (par exemple, pour plusieurs immeubles),

  • Confondre revenus bruts et revenus nets.

Erreur classique : traiter la 2072 comme une formalité administrative rapide alors qu’elle demande rigueur et précision.
Conseil malin : utilisez un logiciel de gestion locative ou faites-vous accompagner par un professionnel pour votre première déclaration, surtout si votre patrimoine immobilier est conséquent.

Revenus fonciers SCI : les leviers pour réduire votre impôt

Les revenus fonciers SCI doivent être déclarés annuellement. Le choix du régime fiscal, réel ou micro-foncier, pour la déclaration des revenus locatifs dépend des revenus et des charges déductibles. Le régime réel permet de déduire les charges réelles, tandis que le micro-foncier offre un abattement forfaitaire. Une bonne gestion des charges peut réduire le revenu imposable. Les dispositifs fiscaux comme Pinel et Malraux offrent une fiscalité attractive.

Pour optimiser la fiscalité de votre SCI, déduisez les charges, gérez les déficits fonciers et utilisez les dispositifs fiscaux spécifiques. Un contrôle efficace permet de réduire l'impôt dû et de maximiser les dividendes. Pour plus de conseils, consultez un expert fiscal ou un notaire spécialisé en immobilier.

Ces articles pourraient aussi vous intéresser

  • tarif-gestion-locative-2025

    Le tarif de gestion locative 2025 a un impact direct sur votre rendement net. Pour donner un ordre d'idée : avec un taux de 8 % appliqué sur un loyer de 1 000 € par mois, vous laissez 960 € par an dans la poche de votre agence. D’où l'importance de ne pas considérer les frais de gestion comme une simple formalité, mais comme un levier stratégique pour maximiser la performance de votre investissement.

    Lire l'article
  • gestion-locative-en-ligne-comparatif

    Si la gestion en ligne est parfaite pour les propriétaires qui aiment avoir la main sur tout (et qui ont un peu de temps), l'accompagnement professionnel reste une valeur sûre pour ceux qui préfèrent dormir paisiblement — sans être réveillés par une notification "impayé détecté".

    Lire l'article
  • diagnostics-immobiliers-obligatoires

    Que vous soyez en train de vendre, de louer ou de rénover un logement, il y a une règle d’or à ne jamais oublier : ne jamais négliger les diagnostics immobiliers obligatoires. Ces contrôles garantissent avant tout la sécurité des occupants et protègent toutes les parties impliquées dans la transaction.

    Lire l'article